Obama serait-il un génocidaire pour son peuple avec sa loi santé ?

Publié le par Enoch

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Réforme de la santé d'Obama : arrêtez, car tous les projecteurs sont braqués sur vous !

 


 Aux Etats-Unis, une des institutions en charge de coordonner la mise en place de la « réforme » du système de santé d'Obama, le Federal Coordinating Council Comparative Effectiveness Research (Conseil fédéral de coordination sur la recherche en efficacité comparative) a tenu sa troisième réunion publique. Pour l'occasion, un espace permettant au public de s'exprimer sur le sujet a été ouvert.

Les larouchistes ne pouvaient pas laisser passer une telle occasion pour clairement formuler leur critique de cette réforme souvent présentée comme un effort généreux visant à accorder une couverture médicale aux 46 millions d'Américains qui en sont privés, sans examiner le changement de logique interne du système.

Un des rédacteurs de l'hebdomadaire fondé par LaRouche, l'Executive Intelligence Review, a lancé la charge devant une quarantaine de personnes, dont le conseiller spécial de Peter Orszag, Ezekiel Emanuel, qui assistaient à la session.

« Je suis Anton Chaitkin, historien et rédacteur de l'EIR.

Le Président Obama a mis en place un mécanisme de réforme qui ressemble point par point aux lois légalisant l'euthanasie adoptées par Hitler en 1939 et qui furent le début du génocide. Ce mécanisme consiste à priver de soins médicaux les personnes âgées, ceux souffrant de maladies chroniques ainsi que les pauvres, afin de récupérer, comme le Président l'a dit lui-même, entre 2000 et 3000 milliards de dollars, en mettant fin à des vies « indignes d'être vécues » comme le disaient les médecins Nazis.

Le docteur Ezekiel Emanuel et les autres fanatiques des coupes budgétaires présents sur cette tribune sont à la tête d'une vaste campagne de propagande dont le siège se trouve au Centre Hastings, avec lequel il travaille. Ils façonnent l'opinion publique et la façon dont pense la profession médicale pour qu'elles adoptent une culture de la mort, comme les lois votées dans l'Etat de Washington en novembre autorisant les médecins à interrompre la vie des malades dont les soins sont de toute façon de plus en plus précaires dans les conditions actuelles. Le mouvement du docteur Emanuel pour la bioéthique et l'euthanasie, et les objectifs de ce Conseil, s'inscrivent directement dans le courant eugéniste dans l'histoire qui organisa la mise à mort des malades sous Hitler, et plus tard ceux considérés inaptes et trop coûteux.

Le docteur Emanuel a écrit le 12 octobre 2008 que seuls une crise, une guerre ou un krach financier pourraient convaincre un public terrorisé d'adopter ce programme. En 1935, Hitler lui aussi disait au docteur Brandt, qu'il fallait attendre le début de la guerre pour rallier l'adhésion de la population pour la légalisation de l'euthanasie.

Le docteur Emanuel a écrit en 2008 qu'il fallait en finir avec le serment d'Hippocrate et que les médecins ne devraient pas seulement agir pour les besoins du patient. Hoche et Bindlings, les eugénistes allemands, réclamaient exactement la même chose pour pouvoir éliminer des gens.

Vous, qui êtes membres de ce Conseil, vous élaborez ici la procédure qui permettra de priver les gens de soins et cette procédure tuera des millions de personnes si elle est appliquée dans le krach mondial économique et financier actuel. Peut-être estimez-vous que l'appui d'hommes puissants, de financiers, vous mettra à l'abri de l'obligation de rendre des comptes. Pourtant, à partir d'aujourd'hui, tous les projecteurs sont braqués sur vous ! Dissolvez ce Conseil et inversez tout de suite la logique de ce retour au Nazisme ! »

Le modérateur, sous le choc, remercia Chaitkin, en espérant pouvoir ainsi passer la parole au prochain intervenant. Cependant, Ezekiel tint à répondre à l'accusation. « Ma réputation a été entachée », dit-il. Voulant remettre les choses en ordre, il ajouta que « depuis très longtemps j'ai pris position contre la légalisation de l'euthanasie ». Chaitkin, de la salle, rétorqua alors avec énergie : « bien sur, vous l'écrivez, mais en même temps vous demandez de débrancher les malades, ce qui revient au même ! ».

Toute l'intervention fut filmée et transmise en direct à la télévision et, selon la loi, elle devrait être postée sur le site de ministère de la santé américain.

 

Publié dans politique

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